De Bethune dévoile la DB28 Yellow Tones
La beauté de l’or, l’éclat des pierres précieuses, mais… d’aucuns rivalisent avec la brillance et la magnificence hypnotique des couleurs du feu.
Passé Maitre dans l’art de l’oxydation thermique des métaux, De Bethune continue d’explorer toutes les nuances de couleurs résultant de la chaleur libérée par les réactions chimiques des aciers et du titane chauffés.
Dans les ateliers De Bethune à l’Auberson, les particules deviennent lumineuses, les métaux – et le titane ici en particulier – émettent une lumière visible… la matière s’oxyde, les propriétés se modifient, les surfaces se transforment, des couleurs naturelles inédites apparaissent.
Denis Flageollet, Maître horloger et fondateur de De Bethune, avec son équipe ont au départ commencé à travailler sur la tonalité du bleu. Couleur liée à la notion d’infini et d’harmonie, le bleu naturel constitue l’un des champs de recherches majeurs chez De Bethune. Il est devenu depuis la signature unique de la maison.
Comme une vibration lumineuse, chaque couleur offre un type d’énergie différente.
Restant fidèle aux couleurs naturelles des quatre éléments - le ciel, l’eau, la terre et le feu, De Bethune explore aujourd’hui une couleur chaude (en opposition à la couleur froide du bleu). La maison dévoile ainsi dans une nouvelle série, des nuances naturelles d’ambre, de blond fauve, qui font écho à la couleur du feu, du soleil, de la chaleur et de la richesse, cette incomparable clarté qui s’en dégage, synonyme d’énergie, de joie et de tonicité.
La main et le feu
Pour créer son propre jaune feu, radical, magnétique, De Bethune recourt à sa fameuse technique qui consiste à oxyder délicatement le titane grade 5 pour colorer sa surface naturellement. Ce rituel offre un jaune feu rare, uniforme, extraordinaire.
Ce savoir-faire est appliqué tant aux éléments du boîtier qu’à la plupart de ceux du mouvement. Chaque composant est ainsi étudié individuellement car le processus doit être adapté en fonction de sa forme et de sa masse. Cette étape préalable s’avère incontournable pour obtenir au final une gamme de tons uniformes. Pourtant, la touche humaine et les typologies des matériaux font que d’infimes variations perdurent. Ces nuances sont essentielles pour De Bethune car elles créent une résonnance visuelle qui impacte la perception du résultat. En effet, la couleur jaune feu définitive découle de la somme de toutes ces variations et se traduit ainsi par une sorte de vibration globale.
Une pièce tout en beauté et finesse qui propose les dernières innovations de la maison.
Modèle iconique de De Bethune, la DB28 présente un boîtier en titane grade 5 poli et monté sur les deux nouveaux berceaux mobiles dévoilés cette année. Entièrement redessinés, de taille intermédiaire harmonisés et adaptés à l’esprit de la montre, ils sont fermés par les fameuses ogives ici plus proéminentes qui rappellent l’esprit des premières collections De Bethune.
Le calibre mécanique à remontage manuel est intégralement visible et intègre plusieurs découvertes techniques fondamentales. La phase de lune sphérique et brevetée est située à 6h. Réalisée en acier et en palladium, elle est dotée d’une précision variant d’un jour lunaire tous les 122 ans seulement.
Au cœur de la montre, l’échappement haute performance développé par De Bethune présente un couple balancier titane avec masselottes en or gris, et spiral à courbe terminale plate, assure un rapport masse/inertie idéal pour une fréquence optimale de 28 800 A/h adaptée aux montres bracelet. Ses propriétés sont multiples : aérodynamisme, rendement optimisé, fiabilité, qualité réglante, thermo-compensation, anti-magnétisme… ce qui est concret : De Bethune a déjà amélioré le rendement du couple échappement-oscillateur traduit par un gain de + 20% de ses réserves de marche.
Le calibre est également équipé du système triple pare-chute d’absorption des chocs. De Bethune a été non seulement la première manufacture contemporaine à concevoir un pont tenu des deux côtés, de façon symétrique, qui permet de maintenir parfaitement le balancier dans sa position. Mais de lui adjoindre deux amortisseurs de chocs, à chaque extrémité, en plus de l’amortisseur du balancier lui-même. D’où le nom de triple pare-chute.
Toutes les finitions sont réalisées à la main avec un pont de minuterie en titane poli, des ponts décorés Côtes De Bethune et des rochets de barillet colimaçonnés. Les heures sont indiquées par des aiguilles squelettées sur des indexes de forme sphérique en acier poli.
L’ensemble est complété d’un bracelet en alligator avec boucle déployante en titane qui contribue également au port pratique et agréable de ce garde-temps.