De Bethune présente la DW5 Cempasúchil Pièce unique de sa collection Maestri’art
Comme chaque année au Mexique pour le Jour des morts, la fleur orangée Cempasúchil mythifie le culte dans l’allégresse !
Le garde-temps est le fruit d’un dialogue inédit à trois :
Une conversation dans le temps, entre deux graveurs d’Art d’exception. Le premier José Guadalupe Posada, le graveur mexicain, le virtuose du burin qui faisait danser les morts à la fin du 19ème siècle.
Une œuvre interprétée par le talent contemporain de la graveuse d’Art suisse Michèle Rothen, qui travaille avec complicité aux côtés de Denis Flageollet, fondateur et maître horloger De Bethune.
De Bethune célèbre le Mexique ! De Bethune célèbre la Fête des Morts !
Une montre qui parle de joie, autant que de précision et de complications
Sous le coup de crayon de Denis Flageollet et de Michèle Rothen, la boite de la DW5 Cempasúchil offre un spectacle unique. Posada travaillait ses calaveras sur des plaques de zinc plates à l’eau-forte, Denis Flageollet et Michèle Rothen les miniaturisent à l’extrême, puis vont leur offrir le relief et les volumes.
La montre témoigne d’une vision d’une allégresse latine débridée tout en étant fondée sur la compréhension et le respect des grands Maîtres horlogers du passé qu’elle transcende et sublime. Œuvre unique comme un pont entre le monde de l’art et celui de l’horlogerie, De Bethune crée une œuvre qu’elle installe comme un repère à la frontière entre la vie et la mort.
L’alliance du titane bleui et de l’or
Une nouvelle technologie pour marier les deux métaux
Dépassant le défi de la réinterprétation contemporaine des gravures de l’artiste mexicain, Denis Flageollet et sa complice Michèle Rothen y ajoutent les défis techniques supplémentaires non seulement d’un boitier en titane, mais aussi coloré au feu, gravé à la main, et orné pour la première fois de délicates insertions d’or, elles aussi gravées, pour magnifier les fleurs de Cempasúchil. Et pour surpasser encore la difficulté, il s’agit de plusieurs types d’alliage différents d’or 18K.
Dans sa fonderie à Sainte Croix, grâce à son savoir-faire hors-pair en la matière , Denis Flageollet joue des teintes inédites du métal précieux 18K pour souligner les éléments floraux de la pièce. Grâce à une nouvelle technique qu’il met au point dans ses ateliers, les deux métaux finissent même par s’accorder, se marier. Les multiples niveaux et nuances du décor offrent une magnifique et subtile profondeur visuelle accentuée par les parties gravées.
La gravure de Michèle Rothen, différente, tout en miniature, tout en volume
Le travail de gravure fût particulièrement difficile sur cette pièce car la gravure sur le titane est déjà une difficulté en soi. Le marier avec de l’or fût un défi fou. Les graver ensemble, un défi inédit supplémentaire. Tout d’abord car il s’agit de l’alliance de deux métaux diamétralement opposés : la ténacité du titane mariée à la douceur de l’or. Ensuite, parce que les températures pour les travailler sont aussi très différentes.
Pour réaliser ce garde-temps, Denis Flageollet a utilisé un titane qu’il a patiemment usiné pour préparer les insertions d’or jusqu’à en obtenir les ajustements parfaits pour la pièce, le travaillant non seulement avant l’étape de la gravure, puis de nouveau après, au feu pour le coloriser, puis en le polissant à la main, reprenant chaque état de surface, chaque micro-détail, chaque relief, blanchissant certaines autres parties pour « soulever » le dessin afin de parfaire l’ensemble. Comme redessiner à nouveau une dernière fois la pièce.
Clin d’œil plein de malice, le fond de la montre est également traité comme une véritable œuvre d’art. Réalisé également en titane et en or 18K, il est orné d’une immense tête de mort, « encore une vraie Calavera » décorée de multiples fleurs, avec ses deux grands yeux dont l’un permet d’admirer, grâce à son ouverture taquine, le balancier spiral du mouvement.
Avec la DW5 Cempasúchil, De Bethune observe la notion de temps dans la culture mexicaine, les échanges admis entre le monde réel et le monde des morts en imaginant un objet de mesure du temps qui fait référence à tous ces passages.